Né dans la clandestinité et la résistance au nazisme et au fascisme, le MRAP a été créé en 1949, à l’initiative d’anciens résistants et déportés. Il n’a cessé de combattre toutes les formes de racisme, d’agir pour l’amitié entre les peuples et pour l’égalité des droits entre tous les êtres humains.
Les luttes historiques du MRAP : contre l’antisémitisme, contre l’apartheid en Afrique du Sud, contre la ségrégation et pour le droit des minorités aux Etats-Unis, contre le colonialisme et ses implications racistes, contre le racisme à l'égard des Tsiganes et des immigrés, pour la régularisation de tous les sans-papiers et la fermeture des centres de rétention.
Le MRAP est à l’origine de la loi du 1er juillet 1972 qui fait du racisme non pas une opinion mais un délit.
L'Association intervient aujourd’hui à plusieurs niveaux. Sur le plan juridique, il dépose des plaintes et/ou se constitue partie civile, rappelant ainsi que les actes et propos racistes ne sont pas une simple opinion mais un délit sanctionné par la loi. D'autre part, grâce à ses permanences d’accueil, le MRAP aide les populations immigrées dans leurs démarches administratives liées au séjour et défend les victimes d'actes ou propos racistes. Le MRAP privilégie les actions préventives d'éducation à la citoyenneté, et développe un « antiracisme de proximité».
Né dans la clandestinité et la résistance au nazisme et au fascisme, le MRAP a été créé en 1949, à l’initiative d’anciens résistants et déportés. Il n’a cessé de combattre toutes les formes de racisme, d’agir pour l’amitié entre les peuples et pour l’égalité des droits entre tous les êtres humains.
Les luttes historiques du MRAP : contre l’antisémitisme, contre l’apartheid en Afrique du Sud, contre la ségrégation et pour le droit des minorités aux Etats-Unis, contre le colonialisme et ses implications racistes, contre le racisme à l'égard des Tsiganes et des immigrés, pour la régularisation de tous les sans-papiers et la fermeture des centres de rétention.
Le MRAP est à l’origine de la loi du 1er juillet 1972 qui fait du racisme non pas une opinion mais un délit.
L'Association intervient aujourd’hui à plusieurs niveaux. Sur le plan juridique, il dépose des plaintes et/ou se constitue partie civile, rappelant ainsi que les actes et propos racistes ne sont pas une simple opinion mais un délit sanctionné par la loi. D'autre part, grâce à ses permanences d’accueil, le MRAP aide les populations immigrées dans leurs démarches administratives liées au séjour et défend les victimes d'actes ou propos racistes. Le MRAP privilégie les actions préventives d'éducation à la citoyenneté, et développe un « antiracisme de proximité».